La compagnie théâtrale

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Les rêves indociles ont à cœur de sensibiliser tous les publics au répertoire à la fois classique et contemporain et sont attachés aux valeurs de la culture pour tou.te.s.

Pour cela la compagnie aime se déplacer dans tous les lieux de vie du public (écoles, collèges, lycées, CFA, bibliothèques, prisons, maison d’arrêt, lieux publics…) afin d’aller à la rencontre des divers publics.

Elle a à cœur de transmettre sa conception du théâtre aux publics parfois éloignés du théâtre. C’est pourquoi la compagnie propose des formations, des stages, des débats. Elle considère que le théâtre est un vecteur de tolérance, d’acceptation de soi, et d’ouverture d’esprit. Unir différentes personnes pour mener à bien un spectacle permet à chacun.e de trouver sa place au sein d’un collectif, de s’y épanouir tout en respectant et en acceptant les différences, mais aussi les fragilités et les forces de l’individu afin de viser un objectif commun.

La compagnie est tout particulièrement sensible au rapport entre le texte et la musique, elle s’interroge sur la prise de parole, sur l’interactivité entre le langage parlé et la musique. Comment ces deux langues communiquent-elles entre elles ? La musique, comme langage universel, n’est-elle pas le vecteur pour dire l’indicible ? Peut-elle-même dépasser la parole ? Est-ce qu’un texte transmet autant d’émotions qu’une musique ? Existe-t-il des émotions plus « musicales » ?  

La compagnie a le désir de mettre en scène des pièces abordant des thèmes tels que: la lutte contre toute forme de violence, la lutte contre le racisme, l’injustice, les inégalités de tout genre et les discriminations.

Ce sont des thèmes chers à la compagnie et qu’elle souhaite mettre en lumière et transcender par le théâtre et la musique.

 

Esther Bastendorff, directrice artistique de la compagnie

est comédienne, metteure en scène et formatrice. Elle s’est formée à l’école « Les enfants Terribles » à Paris 20ème puis auprès du Théâtre du Faune en tant que clown. Pendant 10 ans, elle a été metteure en scène dans les CFA (Centre de Formation des Apprentis) dans le cadre de l’événement « Les Apprentiscènes », parrainé par Philippe Lioret. En 2004, elle créé et dirige la «Compagnie Les Quatr’Elles » dans laquelle elle met en scène des pièces d’auteurs vivants (Isabelle Sorente, Sue Glover, Koffi Kwahulé). Elle a été assistante à la mise en scène de Jean-Luc Paliès (compagnie influenscènes) sur une pièce inédite de Matéï Visniec Le mot satellite dans la bouche de ma mère sonnait terriblement faux en 2011. En 2013, elle met en scène une adaptation de Guillaume Antonielli de textes de Jean-Luc Lagarce.  En parallèle, elle poursuit son travail de formatrice auprès des enfants et des adolescents en animant des ateliers théâtre à la Folie Théâtre, à La Comédie Saint-Michel, à L’Association de Culture Berbère. Elle joue aussi de nombreux spectacles pour le jeune public au sein des compagnies Fi-solo, En Amazone et travaille est comédienne dans la compagnie de l'Eure "Six Pieds sur Terre" depuis 2008, qui théâtre social).

 

Esther bastendorff

Hugues Tabar-Nouval, compositeur, musicien de la compagnie

Hugues

 

Compositeur, arrangeur, saxophoniste, flûtiste, clarinettiste et chef d'orchestre, Hugues a cette particularité d'avoir à la fois une formation de musicien classique (écriture, arrangement, direction d'orchestre, piano) et de "Jazzman" (saxophone, composition). Il a composé la bande originale de plusieurs longs-métrages pour le cinéma (L’empreinte et L’autre Dumas de Safy Nebbou, Où va la nuit de Martin Provost…), pour  des documentaires télévisés, des publicités ainsi que pour le spectacle vivant (théâtre, comédie musicale, clown). Il poursuit parallèlement une carrière de saxophoniste de jazz et se produit régulièrement dans le groupe Soleil Vert Quartet. Il a été nommé au prix France le SACEM de musique de film, finaliste du Concourt National de Jazz de la Défense et lauréat de l'université du cinéma Émergence.